02/12/08


"Les oiseaux journaliers"

Quand les oiseaux ouvrent le matin
ou brunissent sur les arbres nos places,

il s'ouvre un espace à l'intérieur de l'âme
qui ignore les règles du temps,
y élevant la maison
et attendant sereinement
ce que nous ne saurons jamais
sur ce que la mort peut être.

Jusqu'à ce qu'ils partent un jour
vers le coeur le plus voilé,
gardé en nous
comme la plus longue nuit,
fermée en nous
comme la mémoire plus pure.

Victor Oliveira Mateus traduzindo Pompeu Miguel Martins,
op. cit. p 39.

Nota - os meus reconhecidos agradecimentos à equipa de
revisão/ajuda: muitas foram as nossas discussões em torno
de uma palavra, de uma formulação, de um verso... Houve
mesmo um poema que chegou a "estar retido" cerca de dez
dias até que chegassemos a um acordo. Foi bom trabalhar
convosco!
Nota 2 - os nomes de todos os elementos do projecto estão
no lado direito do blogue.